AprÚsnotre séparation nous sommes passés devant le jaf pour la garde de notre fille. pendant les vacances il est dit que les vacances seront partagées par moitié entre les deux parents, selon des modalités à définir amiablement, et en cas de - Posée par Lucie
Bonjour, Je comprends de votre message que vous ĂȘtes convenus de fixer la rĂ©sidence habituelle des enfants Ă  votre domicile, la mĂšre exerçant un droit de visite et d'hĂ©bergement une fin de semaine sur deux ainsi que la moitiĂ© des vacances scolaires. Le droit de visite et d'hĂ©bergement constitue un droit de sorte que vous ne pouvez contraindre la mĂšre Ă  prendre les enfants. En revanche, vous pouvez refuser de modifier leur emploi du temps si vous ĂȘtes prĂ©venus tardivement. Je reste Ă  votre disposition pour tout renseignement complĂ©mentaire. RĂ©ponse du 13 juillet 2020
Dabord les vacances scolaires d’étĂ© durent plus d’un mois. Ensuite quand on parle de la moitiĂ© des vacances, il faut dĂ©compter le nombre de jours de vacances et diviser par 2. Ce n’est donc pas nĂ©cessairement un samedi! il y a 2 mois Signaler Besoin d'un avocat en Famille & Personnes ? Devis d'avocats gratuits et immĂ©diats Avocats les plus actifs FAMILLE - MĂȘme si les dĂ©cisions de justice s'efforcent toujours de prĂ©voir un cadre qui s'appliquera pour les parents sĂ©parĂ©s ou divorcĂ©s Ă  dĂ©faut d'ĂȘtre parvenu Ă  un meilleur accord, il demeure compliquĂ©, en pratique, de dĂ©terminer l'agenda des vacances scolaires de leurs enfants. monkeybusinessimages monkeybusinessimages FAMILLE - MĂȘme si les dĂ©cisions de justice s'efforcent toujours de prĂ©voir un cadre qui s'appliquera pour les parents sĂ©parĂ©s ou divorcĂ©s Ă  dĂ©faut d'ĂȘtre parvenu Ă  un meilleur accord, il demeure compliquĂ©, en pratique, de dĂ©terminer l'agenda des vacances scolaires de leurs enfants. Au-delĂ  de la difficultĂ© du maintien du rapport parental Ă  l'issue d'une rupture conjugale, la recomposition des familles, les dĂ©mĂ©nagements, les contraintes professionnelles ou encore la prise en compte de la volontĂ© des enfants eux-mĂȘmes, on entrevoit les difficultĂ©s que cela peut susciter. Pour Ă©viter que cette organisation ne tourne au cauchemar, il n'est pas inutile de rappeler quelques rĂšgles fondamentales Date des vacances quand dĂ©butent-elles? En gĂ©nĂ©ral, le principe qui prĂ©vaut est celui de l'Ă©galitĂ© du partage des vacances scolaires entre les parents; sauf disposition ou accord contraire, la moitiĂ© des vacances est dĂ©comptĂ©e Ă  partir du premier jour de la date officielle des vacances de l'acadĂ©mie dont dĂ©pend l'Ă©tablissement scolaire frĂ©quentĂ© par les enfants, ce qui a le mĂ©rite d'ĂȘtre clair. Demeure le problĂšme des fratries dont les enfants sont inscrits dans des Ă©coles qui ne dĂ©pendent pas de la mĂȘme acadĂ©mie lorsque l'un d'eux est pensionnaire par exemple ou encore si, bien que dĂ©pendants de la mĂȘme acadĂ©mie, les enfants sont inscrits dans des Ă©coles qui rĂ©pondent Ă  des rythmes scolaires diffĂ©rents par exemple l'un qui a Ă©cole la samedi matin et l'autre non. En pareil cas, la solution la plus opportune est alors de prĂ©voir une clause aux termes de laquelle on attribuera Ă  chacun des parents, en alternance, la semaine commune entre les enfants, si toutefois il y a une... Comment se rĂ©partir les pĂ©riodes de vacances entre les parents? Par principe, les vacances sont partagĂ©es par moitiĂ©, ce qui conduit Ă  attribuer Ă  chaque parent, en alternance chaque annĂ©e, une semaine avec leurs enfants pour les petites vacances lors de l'annĂ©e scolaire, et peu ou prou, un mois pour les vacances estivales. Par exception nĂ©anmoins, lorsque les enfants sont encore jeunes, il est d'usage de prĂ©voir un partage "par quinzaine" pour rĂ©duire la durĂ©e d'Ă©loignement des enfants de l'un ou l'autre des parents. Ces modalitĂ©s -a priori- assez claires, sont nĂ©anmoins susceptibles de susciter des questions, plus ou moins lĂ©gitimes, certains parents se livrant malheureusement Ă  des interprĂ©tations vĂ©tilleuses des dispositions des dĂ©cisions de justice. Les vacances commencent en effet souvent aprĂšs le 1er juillet et finissent souvent aprĂšs le 31 aoĂ»t. Pour Ă©viter toute difficultĂ©, il semble prĂ©fĂ©rable, comme le font dĂ©sormais de nombreuses dĂ©cisions, de se rĂ©fĂ©rer Ă  un partage par pĂ©riodes Ă©gales, par exemple Mais en pratique, les parents prĂ©fĂšrent parfois laisser de cĂŽtĂ© cette mĂ©thode de partage assez mathĂ©matique du nombre de jours et rĂ©flĂ©chir par quinzaine, ce qui s'adapte bien Ă  la logique de la prise de congĂ©s. Que faire en cas de location ou d'un voyage organisĂ© qui sont gĂ©nĂ©ralement du samedi au samedi, alors que le partage des vacances par moitiĂ© implique un transfert des enfants le samedi soir seulement, voire le dimanche matin? Il convient par exemple de prĂ©voir qu'en cas de prise d'une location ou d'un dĂ©part en vacances pour une destination lointaine, l'un des parents dispose d'un jour de plus, en attribuant cette facultĂ© Ă  tour de rĂŽle Ă  chaque parent, Ă  charge de revanche. Il en va de mĂȘme pour les stages et sĂ©jours linguistiques, pour lesquels les parents doivent s'efforcer de les imputer Ă©quitablement sur leurs pĂ©riodes de vacances respectives. En synthĂšse, en marge du cadre fixĂ© par la dĂ©cision de justice, les meilleures solutions sont toujours celles auxquelles les parents sont parvenus Ă  l'issue d'un dialogue constructif menĂ© en amont, dans l'intĂ©rĂȘt des enfants eux-mĂȘmes. C'est aujourd'hui le rĂŽle de l'avocat que de favoriser le recours aux modes alternatifs de rĂšglement des litiges pour Ɠuvrer Ă  la recherche de telles solutions d'apaisement. Le07 est le dĂ©but des vacances scolaires et comme votre jugement indique moitiĂ© des vacances en 4*2 semaines pour les grandes, la date du 7 est lĂ©gale et logique. Le fait que les dates ou les jours ne vous arrangent pas ne font pas d'elles une procĂ©duriĂšre ou quelqu'un qui ne vous laisse pas le choix. La derniĂšre proposition du ministre de l’intĂ©rieur visant Ă  faire appel Ă  l’ArmĂ©e pour prendre en charge de jeunes dĂ©linquants ne manque pas de faire polĂ©mique. Elle recouvre pourtant nombre de sujets qui mĂ©riteraient d’ĂȘtre saisis sĂ©rieusement par-delĂ  les effets d’annonce. * Le social encore discrĂ©ditĂ© Cette initiative trahit dĂ©jĂ  le doute de certains politiques Ă  l’égard de dispositifs classiques et de leurs acteurs sur la maniĂšre de faire face Ă  ces situations. On doute des travailleurs sociaux, ceux de la PJJ comme du secteur associatif, pour prendre en charge des jeunes qui appelleraient Ă  des rĂ©ponses coercitives. Au risque d’une incohĂ©rence si ces jeunes, notamment dans les Territoires d’Outremer de Mayotte et de la Guyane explicitement visĂ©s, commettent des faits graves comme des attaques Ă  la machette, ils relĂšvent d’abord de la justice pour ces actes dĂ©lictueux gravissimes, sinon criminels. Elle ne manquera pas de les condamner Ă  des peines coercitives, voire en attendant le jugement elle prendra des mesures de privation de libertĂ©. Le nouveau code de justice pĂ©nal, adoptĂ© sous un gouvernement oĂč M. Darmanin figurait dĂ©jĂ , ne permet-il pas une rĂ©ponse rapide et ferme ? Le procĂšs fait aux travail social, directement ou via les juges des enfants interpellĂ©s pour laxisme, n’est pas d’aujourd’hui. On met en cause la capacitĂ© des institutions sociales pour intervenir et offrir des structures contenantes Ă  des jeunes violents ; on se trompe. Pour autant reste Ă  rĂ©unir les moyens nĂ©cessaires pour les faire fonctionner Ă  plein rĂ©gime et indĂ©niablement on sest mis en situation de ne plus les trouver en toutes circonstances Ă  la hauteur, en nombre et en qualification. On doute aussi de l’efficacitĂ© de ces interventions. Or les quelques travaux dont on dispose 1 dĂ©montrent que l’efficacitĂ© de l’intervention judiciaire et Ă©ducative est bien supĂ©rieure Ă  la reprĂ©sentation que l’on s’en fait communĂ©ment. Dans 8 cas sur 10, un jeune suivi par un juge et la PJJ n’est plus dĂ©linquant Ă  sa majoritĂ©. On peut faire un peu mieux – le 100% Ă©tant inatteignable – , mais c’est quand mĂȘme pas mal. Et surtout bien mieux que ce que l’on dit communĂ©ment ! En d’autres termes, si l’idĂ©e de M. Darmanin Ă©tait cautionnĂ©e par le gouvernement , on devrait y voir un nouveau mauvais coup contre les travailleurs sociaux et le travail social en gĂ©nĂ©ral discrĂ©ditĂ©s aux yeux des politiques. Du plus mauvais aloi quand on est aux abois pour recruter ou maintenir en fonction des professionnels! La rĂ©ponse proposĂ©e est-elle elle-mĂȘme la hauteur du problĂšme Ă  traiter ? Avec la crĂ©ation d’un ou deux, voire trois ou quatre Centres Ă©ducatifs fermĂ©s pouvant accueillir une dizaine de jeunes Ă  Mayotte imagine-t-on rĂ©pondre aux problĂšmes sociaux, et dĂšs lors sĂ©curitaires, auxquels l’ile est indĂ©niablement confrontĂ©e de longue date pour des raisons bien connues. 600O enfants n’y seraient pas scolarisĂ©s; nombre avec ou sans leurs parents vivent dans des bidonvilles. La pauvretĂ© est dans la RĂ©publique ! Le problĂšme social est majeur. Comme en Guyane, nous sommes assis sur une bombe Ă  retardement. Ce n’est que depuis peu que des moyens financiers courants ont Ă©tĂ© rĂ©tablis par l’Etat Ă  la CollectivitĂ© territoriale. Bien Ă©videmment ces budgets demeurent largement insuffisants Ă  dĂ©velopper une politique d’action sociale digne de ce nom. On serait effarĂ© en se faisant prĂ©senter les moyens rĂ©els dont disposent les services mahorais de protection de l’enfance pour intervenir sur les situations avĂ©rĂ©es ! D’urgence vrai plan s’impose. Il a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© ; reste Ă  l’adopter et Ă  le dĂ©cliner. Doit-on ajouter que le problĂšme, mĂȘme moins aigue, ne se pose pas qu’en Guyane ou Ă  Mayotte ? Dans nombre de territoires mĂ©tropolitains les familles en difficultĂ© sont laissĂ©es livrĂ©es Ă  elles-mĂȘmes. Les dispositifs sociaux de proximitĂ© s’y sont estompĂ©s, voire ont disparu. Par exemple, 17 dĂ©partements n’ont plus de PrĂ©vention SpĂ©cialisĂ©e, c’est-Ă -dire d’éducateurs qui vont au contact des jeunes, lĂ  oĂč ils sont , dans la rue, les caves ou les rĂ©seaux sociaux pour nouer une relation et agir sur la durĂ©e. Dans 5 Ă  10 ans – demain – il ne faudra pas s’étonner de ce que nombre de jeunes enfants et adolescents aujourd’hui livrĂ©s Ă  eux-mĂȘmes, frĂ©quemment dans la toute-puissance, donc dans la violence, soient source d’insĂ©curitĂ© majeure . On disposera d’un beau code pĂ©nal pour y faire face, mais 
 pas de travailleurs sociaux. AprĂšs un dĂ©placement Ă  Mayotte le ministre de la justice avait dĂ©jĂ  annoncĂ© la crĂ©ation Ă  horizon 2024 d’un CEF. On admettra que l’on doive aller plus vite., mais on sait dĂ©jĂ  que ce dĂ©lai sera explosĂ©. Le ministre de l’intĂ©rieur a-t-il les moyens d’accĂ©lĂ©rer le mouvement, voire de lamplifier, sachant comme on l’a dit , que mĂȘme s’il crĂ©ait une demi-douzaine de structures sur la seule ile de Mayotte il ne rĂ©soudrait aucun problĂšme de fond ? On rappellera lĂ  encore que Jacques Chirac en 2002 en promettait un CEF par dĂ©partement avant d’en rabattre singuliĂšrement. En 2017 E. Macron comme F. Hollande en 2012 promettait d’en doubler le nombre dans le cadre de sa campagne Ă©lectorale. 20 ans plus tard Ă  peine une cinquantaine existent qui accueillent entre 8 et 12 jeunes, l’expĂ©rience dĂ©montrant que la structure est elle-mĂȘme menacĂ©e dans son fonctionnement au-dessus de 8. On se doit au passage de pointer deux Ă©lĂ©ments majeurs. D’abord une donnĂ©e financiĂšre le prix de journĂ©e est Ă©levĂ© par jeune accueilli du fait du taux d’encadrement entre 6 Ă  800 euros soit 120 000 euros par jeune pour un sĂ©jour de 6 mois environ. Ensuite on a toujours quelques doutes sur l’efficacitĂ© Ă  long terme de ces structures pour »rĂ©insĂ©rer » des jeunes. Heureusement Ă  ce prix et avec 27 personnels affectĂ©s on obtient quelques rĂ©sultats. Mais on aimerait en savoir plus avec une vraie Ă©tude longitudinale et comparative sur le devenir de ces jeunes pour ne pas se payer de mots. Comment imaginer remonter en quelques mois une pente descendue sur une douzaine d’annĂ©es! MĂȘme Ă  Lourdes certains miracles sont impossibles ! Tout au plus peut-on aider Ă  ces jeunes laissĂ©s Ă  eux-mĂȘmes, souvent nihilistes et qui doutent fondamentalement du monde adulte, Ă  rĂ©tablir un peu d’estime de soi . On peut aussi leur ouvrir des perspectives en Ă©clairant le travail Ă  engager. DĂ©marche ambitieuse pour des travailleurs sociaux. Comment concevoir que l’ArmĂ©e y parviendra avec son fonctionnement de base. Projette-t-on d’ouvrir des camps, Ă  l’amĂ©ricaine, oĂč on veillerait Ă  faire crapahuter des jeunes ? Est-la voie de la socialisation? L’idĂ©e de mobiliser l’ArmĂ©e ne date pas d’aujourd’hui. On se souvient dĂ©jĂ  des propos de SĂ©golĂšne Royal en 2006 pour lui accueillir des jeunes dĂ©linquants 2 voire en 2011-2013 pour intervenir carrĂ©ment en supplĂ©ance de la police dans les quartiers » de Marseille relayant une autre Ă©lue de gauche , la sĂ©natrice Samia Ghali. Et puis il y a dĂ©jĂ  eu des dĂ©marches en ce sens. En 1982-1984 dans le dĂ©marrage des OpĂ©ration d’étĂ© aujourd’hui appelĂ©es Ville, vie, Vacances nous avions mobilisĂ©, entre autres compĂ©tences techniques, des centres de formation de l’ArmĂ©e pour accompagner en toute sĂ©curitĂ© des jeunes prĂ©dĂ©linquants sur des activitĂ©s Ă  risque les amenant Ă  se dĂ©passer plongĂ©e, moto, escalade, saut en parachute, mais aussi Ă  compter sur les adultes pour les protĂ©ger . La dĂ©marche des EPIDES et des Ecoles de la Seconde chance qui accueillent des jeunes de plus de 16 ans dĂ©linquants s’appuie aussi sur un encadrement militaire accentuĂ©. Reste que ce n’est pas l’institution ArmĂ©e qui est mobilisĂ©e en tant que telle mais des citoyens ayant la culture militaire comme on fait ailleurs appel Ă  des policiers actifs ou retraitĂ©s dans l’Aude sous l’égide de Bruno Pommard, ancien responsable du RAID ou Ă  des polytechniciens en Bretagne. Dans les OpĂ©rations d’étĂ© ce furent encore des pĂ©cheurs de l’Ile de RĂ© ou des paysans. En quelque sorte on fait appel Ă  des militaires dĂ©tachĂ©s dans des structures civiles comme le faisait depuis 1996 – l’amiral Brac de la PerriĂšre jusqu’en 2004 oĂč le ministĂšre de la dĂ©fense – RPR – a refusĂ© Ă  JET de lui maintenir les facilitĂ©s accordĂ©es jusque-lĂ . Dans toutes ces initiatives ponctuelles il faut voir une dĂ©marche citoyenne dĂ©veloppĂ©e avec un rĂ©el succĂšs qui mĂ©riterait d’ĂȘtre consacrĂ©e, mais soyons clairs l’ArmĂ©e, pas plus que la police, n’est pas habilitĂ©e dans la protection de l’enfance ! Quel est l’enjeu ? Il ne s’agit pas de mater des jeunes en conflit avec la loi par une vie Ă  la dure en leur montrant qu’il y a plus fort qu’eux, mais de les accompagner, de gagner leur confiance en mobilisant des hommes et des femmes qui partagent du temps de vie ou un projet. Ce dont des jeunes manquent c’est bien d’adultes de rĂ©fĂ©rence en lesquels s’identifier. Ils en ont gĂ©nĂ©ralement Ă©tĂ© privĂ©s trĂšs tĂŽt , quand pour certains n’en ont jamais eu. Reste donc Ă  M. Darmanin Ă  assumer ses annonces et Ă  prĂ©ciser ses objectifs. Il pourrait se rĂ©fĂ©rer au rapport armĂ©es justice remis par la Mission d’appui Ă  un partenariat Justice ArmĂ©es rĂ©unissant des Inspecteurs gĂ©nĂ©raux des ArmĂ©es et la PJJ. Ce travail avance des pistes plus raisonnables et rĂ©alistes comme la crĂ©ation dune rĂ©serve de la PJJ dans laquelle serait admis d’anciens militaires mobilisables par les Ă©quipes de la PJJ, multiplication des stages au sein de l’armĂ©e, etc. on n’hĂ©site pas Ă  promouvoir ce qui aurait susciter voici deux dĂ©cennies un mouvement de grĂšve au sein de la PJJ – Ă  »promouvoir une mĂ©thode d’encadrement d’inspiration ou de culture militaire ». Mais on n’en est pas Ă  suggĂ©rer de confier des jeunes Ă  l’ArmĂ©e ! Il est certain que des jeunes peuvent ĂȘtre violents, voire extrĂȘmement dangereux. Il est hors de question de nier cet Ă©tat de fait. Les centres Ă©ducatifs fermĂ©s ont Ă©tĂ© créés en 2002 pour y faire face quand la prison ne s’impose pas. MĂȘme si la dĂ©linquance juvĂ©nile depuis quelques annĂ©es dĂ©croit un part non nĂ©gligeable s’accompagne de faits de violence, y compris de violence graves. On se doit de rĂ©agir sinon de prĂ©venir. Pour autant autrement que par des mouvements de jugulaires. Tout simplement on est choquĂ© devant l’image stigmatisante renvoyĂ©e des Ultramarins pour lesquels le ministre entend spĂ©cialement faire appel Ă  larmĂ©e ils sont justes bons Ă  ce qu’on leur envoie l’ArmĂ©e pour juguler leurs enfants ? Un relent de colonialisme ? Une nouvelle fois le ministre de l’intĂ©rieur n’est-il pas allĂ© trop vite aprĂšs son dĂ©placement Ă  Mayotte ? Il tombe dans le camp sĂ©curitaire Ă  courte vue quand des projets plus ambitieux et pertinents sont sur table. La facilitĂ© et l’effet d’annonce! L’ancien temps est de retour. * l Le moment est venu, on se rĂ©pĂšte, d’aborder les vrais problĂšmes. Pour cela il faut dĂ©passer les invectives, les procĂšs d’intention et les fausses reprĂ©sentations. Une vraie table-ronde s’impose rĂ©unissant entre les principaux concernĂ©s, les pouvoirs publics d’État et territoriaux, les professionnels et leurs institutions, les reprĂ©sentants de la sociĂ©tĂ© civile. Bref, un vĂ©ritable accord Etat-collectivitĂ©s territoriales doit ĂȘtre recherchĂ©, adossĂ© Ă  l’expertise des professionnels et des gens de terrain. D’entrĂ©e de jeu il est clair que l’on devra traiter de pair deux problĂšmes 1 rĂ©pondre aux jeunes actuellement dĂ©linquants et donc au problĂšme de sĂ©curitĂ© Ă  court et moyen terme ; 2 s’attacher Ă  travers une politique de gestion de l’ordre public Ă  court terme Ă  ce que de nouveaux jeunes ne deviennent pas dĂ©linquants. On le rĂ©pĂšte une nouvelle fois ces deux efforts doivent ĂȘtre dĂ©ployĂ©s dans le mĂȘme temps l’un crĂ©dibilisant l’autre. La mobilisation doit ĂȘtre gĂ©nĂ©rale. Des services sociaux de proximitĂ© en allant jusqu’au suivi concret de jeunes dĂ©jĂ  en difficultĂ©. Pour cela il faut des personnels en nombre et qualifiĂ©s. La tĂąche est ardue pour les trouver et implique lĂ  encore un effort en profondeur qui n’est possible que par une singuliĂšre revalorisation des professions sociales revalorisation de leurs conditions de travail et de leur rĂ©munĂ©ration, mais aussi rĂ©habilitation de leur efficacitĂ© sociale dans le discours public quand eux-mĂȘmes doutent de leur impact . On doit aussi s’efforcer de mobiliser des citoyens dans des dĂ©marches d’accompagnement de jeunes, pour partager des temps de vie authentiques avec eux car tous ces jeunes manquent d’adultes de rĂ©fĂ©rence, et souvent d’hommes. On a vu que c’était possible. Quittons l’expĂ©rience pour pratiquer cette dĂ©marche Ă  grande Ă©chelle. Encore faut-il aussi s’attaquer aux problĂšmes de fond les conditions de vie souvent indignes des familles dont sont issus ces enfants – comment escamoter la pauvretĂ© et le dĂ©nuement ?- , trop souvent absence de scolarisation et de soins adaptĂ©s, et surtout manque de perspectives positives. Comment nĂ©gliger comme Ă  Mayotte l’immigration sauvage ? 3 On voit combien on est loin de l’approche en reflexe du ministre de l’intĂ©rieur fidĂšle Ă  ses prĂ©dĂ©cesseurs certes – conf. le JP ChevĂšnement de 1989 – , soucieux de rĂ©pondre aux problĂšmes d’insĂ©curitĂ© au quotidien, tombant comme ses prĂ©dĂ©cesseurs dans la rĂ©ponse simpliste et dĂ©magogique . Le ministre encore rĂ©cemment maire de Tourcoing ne peut pas ne pas ignorer ces rĂ©alitĂ©s sociales! Il est temps de renoncer Ă  des rĂ©ponses simplistes et institutionnelles sur un sujet aussi complexe et humain. C’est l’intĂ©rĂȘt de chacun pour Ă©viter des drames, des vies brisĂ©es de victimes ou de jeunes, mais aussi dans l’intĂ©rĂȘt collectif pour assurer la paix intĂ©rieure quand nous avons tant et tant de problĂšmes majeurs Ă  traiter par ailleurs. 1 Notamment le rapport du sĂ©nateur Lecerf 2011 2 Billet 183 sur ce blog 3 On lira avec intĂ©rĂȘt le billet reproduit ci-dessous de Maxime Zennou, responsable du Secteur jeunesse au sein du Groupe SOS et animateur du rĂ©seau Ultramarin du social Faut il confier la prise en charge des mineurs dĂ©linquants aux ArmĂ©es Ă  Mayotte ou ailleurs ? L’idĂ©e peut sĂ©duire les populations en attente lĂ©gitime de sĂ©curitĂ©. La rĂ©alisation est plus alĂ©atoire qu’il n’y parait. Avant d’annoncer une action publique supposĂ©ment nouvelle, il est judicieux d’analyser les causes structurelles et pluri factorielles de la dĂ©linquance, de les traiter et d’évaluer les politiques publiques dĂ©jĂ  Ă  l’Ɠuvre avant de promouvoir, comme si on allait faire table rase, une rĂ©ponse aux effets magiques. Rien de tel dans la rĂ©alitĂ©. Les causes de la dĂ©linquance sont multiples et prospĂšrent sur le terreau de l’extrĂȘme pauvretĂ©, d’une dĂ©mographie galopante, de conditions de vie indignes dans lesquelles les droits humains fondamentaux ne sont pas respectĂ©s. On ne citera que le droit Ă  l’éducation et par exemple la non scolarisation de milliers d’enfants dont on vous laisse imaginer les effets chez des enfants et des adolescents tĂŽt en perdition. Concernant la sollicitation de nos ArmĂ©es, le sujet n’est pas nouveau. Mais Ă©vitons la confusion. Aux uns la mission d’assurer la dĂ©fense nationale, Ă  toute la sociĂ©tĂ© civile, aux familles et aux pouvoirs publics d’assurer les missions d’éducation parentale, nationale ou spĂ©cialisĂ©e. Notre pays Ă  la chance de disposer d’un large dispositif de protection de l’enfance et de protection judiciaire de la jeunesse dont les missions doivent ĂȘtre confortĂ©es et les moyens renforcĂ©s en particulier en territoire ultramarin. A Mayotte, les moyens et la technicitĂ© se dĂ©veloppent peu Ă  peu. Mais Ă  l’image de toutes les politiques publiques Ă  Mayotte, le volume des rĂ©ponses n’est pas ajustĂ© Ă  l’ampleur exponentielle des problĂ©matiques. Les collaborations ArmĂ©es-justice viennent Ă  peine de faire l’objet d’un trĂšs rĂ©cent et remarquable rapport nourrissant une Mission d’appui Ă  un partenariat Justice-ArmĂ©es » conduit conjointement par les deux ministĂšres de rĂ©fĂ©rences. La crĂ©ation de tels centres y est Ă©cartĂ©e pour privilĂ©gier des collaborations plus fines prenant appui sur des rĂ©alisations reconnues comme le RSMA. Les centres de rééducation et de redressement » imaginĂ©s ont Ă©tĂ© testĂ©s sans produire de rĂ©sultats trĂšs probants. Attendons de voir leur nouvelle formulation. Il ne faut jurer de rien. Commençons dĂ©jĂ  sans opposer les politiques entre elles Ă  faire en sorte que chaque enfant et chaque jeune Ă  Mayotte et ailleurs se voit bien proposer, et parfois imposer, une rĂ©ponse d’abord Ă©ducative contenante et ferme si besoin mais toujours bienveillante. Pour finir, nous poursuivons pour ce qui nous concerne notre action au quotidien comme cette sortie en forĂȘt avec les jeunes du centre Ă©ducatif renforcĂ© de LOZERE. Un tel dispositif existe aussi Ă  Mayotte qui accueillera prochainement son centre Ă©ducatif fermĂ©. LĂ  encore pas de rĂ©ponse miraculeuse mais plutĂŽt la recherche constante d’un juste Ă©quilibre des politiques publiques. GROUPE SOS en Outre-mer, pour entreprendre au profit de tous.

Lesvacances scolaires d'été 2022 appelés plus fréquemment grandes vacances débuteront pour les 3 zones le jeudi 7 juillet 2022 aprÚs

Association adei divorce Droit de visite et d’hĂ©bergement Principe du droit de visite et d’hĂ©bergement DĂ©finition du droit de visite et d’hĂ©bergement Suite Ă  un divorce, le droit de visite et d’hĂ©bergement peut ĂȘtre fixĂ© soit par accord entre les parents ou soit par dĂ©cision du juge aux affaires familiales. Ce droit de visite correspond le plus souvent dans le fait pour le parent qui n’a pas la garde de l’enfant Ă  pouvoir reçevoir celui-ci chez lui un we sur deux et la moitiĂ© des vacances scolaires. Les parents, s’ils arrivent Ă  se mettre d’accord peuvent dĂ©cider autre chose. Ce droit de visite concerne bien entendu le parent qui n’a pas la garde de l’enfant et donc la rĂ©sidence habituelle de celui-ci. Le parent qui a la garde habituelle de l’enfant n’a pas le droit de s opposer au droit de visite de l’autre parent. Il risque sinon une sanction pĂ©nale au motif de non prĂ©sentation d’enfant. Quelle sanction si le bĂ©nĂ©ficiaire du droit de visites n’exerce pas son droit ? Lorsque l’un des parents qui a un droit de visite ou d’hĂ©rgement n’exerce pas son droit Ă  l’ùgard de son enfant, le juge aux affaires familiales peut ĂȘtre saisi pour le condamner Ă  une sanction. S’il n’est pas possible de le contraindre Ă  exercer ce droit, le montant de la pension alimentaire dĂ» par le parent peut ĂȘtre augmentĂ©. En cas de divorce, quand est dĂ©cidĂ© le droit de visite et d’hĂ©bergement ? Pendant la procĂ©dure de divorce les parents tentent de s’accorder sur les conditions de ce droit de visite. S’ils arrivent Ă  un accord, alors le juge validera cet accord. Il dĂ©cidera en revanche Ă  la place des parents si ceux-ci ne se mettent pas d’accord. Quelle est la sanction en cas de non respect du droit de visite et d’hĂ©bergement pas le parent ayant la garde ? Article 227-5 du Code pĂ©nal en cas de dĂ©lit de non prĂ©sentation d’enfant mineur. Il Ă©nonce que “le fait de refuser indĂ»ment de reprĂ©senter un enfant mineur Ă  la personne qui a le droit de le rĂ©clamer est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende.” Si vous ĂȘtes concernĂ© vous devez donc aller Ă  la police et dĂ©poser plainte. La police pourra venir avec vous rĂ©clamer l’enfant. Cela arrive le but Ă©tant d’essayer d’arranger la situation. Le juge n’aime pas sanctionner dans une histoire familiale, c’est toujours dĂ©licat. Toutefois si votre conjoint exagĂšre il n’hĂ©sitera pas pour se faire respecter. RĂ©sumĂ© de la page Droit de visite et d’hĂ©bergement le droit de visite et d'hĂ©bergement est fixĂ© par le juge ou par acord entre les parents. Le droit de visite et d'hĂ©bergement est un droit naturel aussi celui qui ne le respecte pas s'expose au dĂ©lit de non prĂ©sentation d'enfant. Si vous vous posez des questions concernant droit de visite et d’hĂ©bergement, n'hĂ©sitez pas Ă  demander notre avis en laissant une question. Nous ferons en sorte, dans la mesure du possible, qu'un avocat vous Ă©claire gratuitement. Questions de procĂ©dure de divorce Exemples de questions posĂ©es concernant le droit de visite et d’hĂ©bergement Droit de visite du pĂšre J’ai eu la garde de notre enfant, son pĂšre Ă©tant incapable de s’en occuper correctement. En revanche le juge lui a accordĂ© un droit de visite. Je ne suis pas d’accord. Hier il est revenu de chez son pĂšre sale. Il n’avait pas Ă©tĂ© lavĂ© du we. Ses devoirs n’avaient pas Ă©tĂ© faits. D’ailleurs quand je demande Ă  mon fils s’il s’est bien amusĂ©, il me dit que non, qu’il a passĂ© son temps devant la tĂ©lĂ©. Je crains pour son avenir psychologique. Etant donnĂ© qu’il est en danger, je ne vais pas la prĂ©senter la prochaine fois au droit de visite de son pĂ©re. Qu’est-ce que je risque ? Est-ce que je peux saisir en rĂ©fĂ©rĂ© le juge ? Droit de visites non respectĂ© Ca fait trois fois que je me dĂ©place pour prendre mes enfants pour mon droit de visite et d’hĂ©bergement. A chaque fois ils ne sont pas prĂȘts la derniĂšre fois j’ai du attendre une heure trente dans la voiture . Je me doute que ma copagne en fait exprĂšs. Qu’est-ce que je peux faire pour changer ca et que le droit soit fait Ă  l’heure prĂ©vue par le divorce ?Dois-je dĂ©poser plainte ? Droit de visites aprĂšs divorce pour les grands parents Mes parents me demandent s’ils peuvent avoir un droit de visite aussi pour pouvoir voir leurs petits enfants. Moi je veux bien leur apporter pendant mon droit de visites, mais du coup ca fait court. Dans quel mesure un juge peut accorder un droit de visites en plus pou les grands parents c’est moi qui irai chercher les enfants en leur nom DĂ©pĂŽt de plainte Hiere j’avais mes trois enfants en visite et hĂ©bergement chez moi. On Ă©tait dimanche. Le divorce prĂ©voit que ce droit de garde vaut jusqu’à 18 heures. A 16 h 30 elle Ă©tait dĂ©jĂ  lĂ  devant chez moi pour rĂ©cuperer les enfants car ils ont de la route pour rentrer chez eux. J’ai refusĂ© en disant que ce n’était pas l heure. Elle a dĂ©posĂ© plainte et c est la police qui m’a appelĂ© et qui m’a menacĂ© que si je donnais pas les enfants alors ils allaient enregistrer la plainte ! J’ai eu beau expliquer le cas ils ont maintenu ! Ce n est pas normal. Que puis-je faire ? Droit de visite et d’hĂ©bergement en vacances J’envisage d’aller en vacances en nouvelle Zelande. Il serait plus profitable Ă©tant donnĂ©e la distance d’avoir toutes les vancances d’étĂ©. Mais je n’ai droit qu’à la moitiĂ© des vacances scolaires en droit de visites et d’hĂ©bergement. Je connais mon ex elle est psychorigide. MĂȘme si c est mieux pour notre enfant elle va refuser en disant non le juge a prĂ©vu autrement, ce n’est pas possible. Existe t’il une possibilitĂ© de saisir le juge asser rapidement pour avoir son autorisation et ainsi couper court aux arguments bidons de mon ex ? Menace de mon ex sur le droit de visites J’ai une vie professionnelle et amoureuse assez dĂ©cousue depuis notre divorce. J’essaye de faire au mieux mais ce n’est pas facile. Il arrive que je n’exerce pas mon droit de visite et d’hĂ©bergement quand c est pas possible. Mon ex me menace de saisir le juge car soit disant que ca perdube mon enfant de ne pas savoir Ă  l’avance s’il je vais venir le chercher ou pas. J’ai demandĂ© Ă  mon fils qui m’ a dit que c’est pas lui qui rĂąle quand je ne viens pas mais sa mĂšre. Qu’est-ce que je risque ? Je croyais qu’on Ă©tait pas obligĂ© de tout le temps exercer ce droit ? Droits de visites et hĂ©bergement A la suite de mon divorce j’ai retrouvĂ© un compagnon avec qui je partage ma vie. Le problĂšme est qu’il a comme moi des droits de visites Ă  exercer pour ses filles. Moi j’en ai pour mes enfants un garçon , une fille . Ca ne tombe pas les mĂȘme we. Non seulement du coup on passe notre temps sur la route car nous sommes respectivement Ă  300 km et 200 km oĂč aller les chercher mais en plus ca ne tombe pas les mĂȘme vacances , question de zone
 Qu’est-il possible de faire ? Peut-on saisir le mĂȘme juge pour qu’il prenne une decision d’ensemble pour notre nouvelle famille ? SĂ©paration et droit de visite Je viens de me sĂ©parer de ma concubine , il y a une semaine et nous allons divorcer. Nous avons un fils de trois ai des difficultĂ©s Ă  avoir mon filse le week end et pouvoir le prendre rĂ©guliĂšrement. Mon fils est tout pour moi. Je suis actuellement hĂ©bergĂ© chez mes parents et travaille dans lintĂ©rim. Comment faire pour avoir un droit de visite ? Demande Ă©claircissement droit de visite C’est la 1Ăšre fois que mon ex mari doit prendre les enfants lors des vacances scolaires pour son droit de visite. Je souhaite que vous m’apportiez un Ă©claircissement quand Ă  l’heure et aux jours ou il doit les rĂ©cupĂ©rer. Je vous joins ci-dessous l’extrait officiel de la convention qui a Ă©tĂ© signĂ© par monsieur. “Le droit de visite et d’hĂ©bergement de Monsieur s’exercera Ă  l’amiable et Ă  dĂ©faut d’accord toutes les fins de semaines paires les samedis de 10 heures Ă  19 heures et les dimanches de 11 heures Ă  17 heures 30, Et du vendredi 19 heures au dimanche 18 heures les 2Ăšmes fins de semaine paires du mois, ainsi que pendant les vacances scolaires une semaine durant les vacances d’hiver de fĂ©vrier et 2 semaines durant les vacances d’étĂ©, 2 semaines en juillet les annĂ©es paires et 2 semaines en aoĂ»t les annĂ©e impaires.” Non respect du jugement jaf du droit de visites et d’hĂ©bergement Mon ex mari ne respecte pas le jugement du droit de visites et d’hĂ©bergement oĂč il devrait venir chercher les enfants un week end sur deux et la moitiĂ© des vacances. Jugement actĂ©s depuis juillet, il les a pris 3 jours, et aout une semaine aulieu de 15 jours. il n’est jamais venu les week end, ni pour les derniĂ©res vacances de fĂ©vrier. Il les a pris une semaine en novembre et une semaine en faire pour le faite qui ne respecte pas le jugement JAf ?
Vacancesd'Ă©tĂ© par moitiĂ©; Jaf moitiĂ© des vacances scolaires Ă©tĂ© 2022 - Forum - Mariage; Vacances d’étĂ© 2021 - Forum - Garde d'enfants; Comment calculer la moitiĂ© de vacances scolaires? LapremiĂšre moitiĂ© des vacances scolaires : du samedi 10 inclus au samedi 17 suivant, inclus. La deuxiĂšme moitiĂ© des vacances scolaires : dimanche 18 inclus au dimanche 25 avril suivant, inclus (sauf retour prĂ©vu le matin en classe). 0vDcx.
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