Bonjourà tous, J'ai déjà parlé de cela dans un autre forum mais suite à la pluie d'insulte, je viens ici en espérant surtout pouvoir échanger avec des hommes ayant le même problème (et d'après mes recherches sur internet, cela existe). C'est un sujet qui porte à sourire, mais malheureusement de mon point de vue, cela ne me fait pas rire. Beaucoup disent que
uncorps entraîné aux exercices sportifs. Mais les forces humaines ont des limites. Sans résister davantage au sommeil qui l’envahissait, il ferma les yeux et s’endormit instantanément. Il ne s’éveilla qu’au matin. Le soleil, déjà , dorait l’entrée de la grotte ; l’homme sauta sur ses pieds, fâché de s’être mis en retard : sa montre marquait huit heures. Après uneL’épisiotomie, cette incision du vagin qui peut être pratiquée pendant un accouchement, est source d’angoisse pour beaucoup. Et son utilité est de plus en plus questionnée. L’épisiotomie, très courante dans les décennies passées, est maintenant décriée. On est passé du tout-épisio » à un objectif presque zéro-épisio ». Alors histoire de vous aider à y voir plus clair, avec l’aide d’Anna Roy, LA sage-femme, on vous explique où nous en sommes de cette méthode aujourd’hui. L’épisiotomie, qu’est-ce que c’est ? L’épisiotomie est un acte médical qui peut être pratiqué durant un accouchement. Très répandu dans les années 1980 et 1990 en France, où il a perduré de façon massive jusque dans les années 2010, il est de plus en plus décrié par le corps médical, pour lequel il n’a lieu d’être qu’en de rares cas. Anna Roy explique à Madmoizelle de quoi il s’agit précisément C’est une incision dite médio-latérale — c’est-à -dire sur le côté — qu’on pratique entre le vagin et l’anus, pas sur toute la longueur, qu’une sage-femme ou un médecin pratique à l’aide d’un ciseau chirurgical. On va couper la peau, le vagin, et une partie des muscles périnéaux. » L’épisiotomie peut être pratiquée à la toute fin de l’accouchement, pendant la délivrance, lorsque la tête du bébé se présente. Pour Anna Roy, le risque de déchirure, même complexe, ne la justifie pas. Il n’y a qu’une seule raison qui nécessite cet acte Quand le bébé ne va pas bien dans la toute dernière ligne droite ! Quand il y a une altération du rythme cardiaque. On le voit au monitoring. C’est pour accélérer le rythme de sa sortie. Ça agrandit l’espace par lequel il passe et ça accélère sa sortie. » Il est maintenant admis que ce geste ne permet pas de prévenir les déchirures graves et complexes, ni d’empêcher l’incontinence urinaire ou anale – phénomènes qui restent cependant très très rares, rassurez-vous. Une étude a même montré que la réalisation d’une épisiotomie médiane non seulement ne protégeait pas le périnée postérieur au cours de l’accouchement, mais s’accompagnait d’un risque accru d’incontinence anale ». Le temps moindre de suture, une fois l’accouchement terminé, était aussi parfois un motif avancé pour pratiquer cette incision, même s’il ne constitue absolument pas une raison valable. Anna Roy nous explique Parfois c’est juste parce que ça va plus vite, une suture droite à la place d’une suture biscornue. » Ce n’est donc que depuis peu que la seule raison valable de pratiquer une épisiotomie est la santé du bébé. Les déchirures — si déchirures il y a — qui sont dites naturelles » nécessitent plus de temps pour recoudre mais cicatrisent mieux et ont moins de conséquences néfastes sur le bien-être des personnes ayant accouché. Les difficultés du post-partum Le post-partum peut être une période complexe, tant d’un point de vue psychique que physique. En 2020, des femmes témoignaient à l’aide du hashtag monpostpartum. Une des fondatrices de ce mouvement, Illana Weizman, a écrit un livre passionnant à ce sujet, Ceci est notre post-partum, qui détaille ce qui se passe durant cette période. Certaines difficultés sont liées à la cicatrisation des sutures de déchirures, qu’il y ait eu une épisiotomie ou non, qui peut causer des tiraillements, des picotements et même très souvent des douleurs pendant quelques jours et même parfois quelques semaines. L’épisiotomie un peu d’histoire Cet acte chirurgical existe depuis le 18e siècle mais cela fait quelques décennies que l’on pratique de façon massive l’épisiotomie. Et cela pour plusieurs bonnes raisons on croyait protéger le sphincter de l’anus… on sait maintenant que ce n’est pas le cas ! Anna Roy nous explique C’était recommandé par les autorités médicales. Ça peut paraître fou ! Ça a coûté le périnée de centaines de milliers de femmes… » Encore au début des années 2000, les chiffres étaient élevés En 2005, le Collège national des gynécologues obstétriciens français CNGOF publie des recommandations dans lesquelles il prend acte qu’il n’y a pas d’indications prouvées à l’épisiotomie systématique et propose de viser un taux global de 30% d’épisiotomies au lieu des 47% constatés à l’époque. » Mais les taux d’épisiotomie diminuent ensuite, suivant les recommandations de bonnes pratiques, passant de 27% en 2010 à 20% en 2016. Quelles conséquences après une épisiotomie ? Les personnes ayant eu une épisiotomie ressentent souvent des désagréments physiques plus importants peu après l’accouchement que lorsque la déchirure est naturelle », comme des douleurs plus fortes et une cicatrisation plus lente. On a suffisamment de recul maintenant pour analyser les conséquences des épisiotomies sur le long terme. Anna Roy nous parle des répercussions sur ses patientes. Certaines lui disent les dégâts causés, comme le témoignage qui suit J’ai eu ma vie sexuelle flinguée ! » Quelques mots qui en disent long sur les possibles suites dramatiques de certaines épisiotomies. Le point du mari, légende urbaine ou réalité ? Avec la libération de la parole sur le sujet des violences gynécologiques et obstétricales, des témoignages ont porté sur l’épisiotomie – et le manque de consentement des patientes – et sur le point du mari ». Mais qu’est-ce que c’est ? Une épisiotomie est une incision entre 2,5 et 5 cm, il faut donc recoudre après l’accouchement. Le point du mari » est un geste qui consisterait à suturer de façon plus serrée, en ajoutant un ou plusieurs points, dans l’idée qu’un vagin plus étroit augmentera le plaisir masculin, d’où le nom. Aussi fou que cela puisse paraître, ce n’est pas une légende urbaine, et il a existé quelques cas, comme nous l’explique Le Monde. Anna Roy nous dit ne jamais avoir vu sur ses patientes de point du mari » mais avoir eu connaissance de patientes victimes de cette aberration Des gynécologues le disaient aux patientes. Et des femmes ont dit “merci”. Car ils présentaient ça en disait que ça allait être beaucoup mieux pour la sexualité. Par défaut d’informations, elles acceptaient, c’est terrible ! Ce sont des comportements qui se dissipent, bien entendu. » Sauf lorsque cela est énoncé clairement par le praticien, et cela a donc été le cas, il est difficile de savoir si cette suture très serrée est volontaire on non – même si des bruits de couloir dans certains services ont circulé en ce sens. Laurie, 28 ans, s’est confiée à Madmoizelle Lorsque je suis allée voir ma sage-femme après mon accouchement, elle m’a dit, par abus de langage sans doute, que j’avais eu le “point du mari”. En tout cas, j’avais été recousue trop serrée mais cela allait s’assouplir par la suite et il n’y aurait pas de conséquences, m’a t-elle dit. J’avais toute confiance en la personne qui m’avait recousue, après des déchirures naturelles. J’avais su que ça n’avait pas été facile. » Nasrine Callet, gynécologue à l’institut Curie, l’expliquait à Marianne Le problème, c’est qu’il n’y a pas de technique proprement dite. Les sutures dépendent du médecin. Il y en a qui les font bien, mais d’autres qui serrent trop par exemple, ce qui provoque des douleurs physiques. La France, légèrement en retard La France n’est clairement pas première de la classe dans ce domaine en Europe – avec l’Allemagne, Chypre et la Pologne comme autres mauvais élèves aux taux d’épisiotomie élevés. Elle s’est obstinée à continuer de façon massive la pratique de cet acte. L’OMS, en 1997, alertait déjà en préconisant de réduire au strict minimum les techniques traumatiques telles que l’épisiotomie », et en 2008, elle indiquait à nouveau qu’il fallait mettre un terme à la pratique excessive ». En Angleterre, entre 2009-2010, 8% des femmes qui ont eu un accouchement par voie basse spontané ont eu une épisiotomie. Anna Roy nous le dit également Les Anglais nous avait prévenus, la France s’est obstinée. On a continué. » La sage-femme souhaiterait d’ailleurs un mea culpa de la part des autorités médicales françaises. Prise de conscience collective et consentement À partir du milieu des années 2010, la parole s’est libérée sur le sujet des violences gynécologiques et obstétricales et les témoignages ont afflué vers les médias, notamment après le hashtag PayeTonUtérus, tentant de mettre la lumière sur le consentement lors des examens et des accouchements. À cette occasion, la pratique encore très courante de l’épisiotomie avait été remise en cause. Dans le corps médical, des voix s’élevaient également et le Collège national des gynécologues et obstétriciens français CNGOF avait annoncé lors de son congrès annuel en 2018 que les pratiques entourants l’épisiotomie devaient changer . Dans un rapport du Haut conseil à l’égalité femmes-hommes HCE paru en 2018 également, il est inscrit Une femme sur deux sur laquelle une épisiotomie a été réalisée déplore un manque ou l’absence totale d’explication sur le motif. » © Unsplash/Stephen Andrews Une pratique à bannir ? Dans le même rapport datant de 2018 était également indiqué que les taux d’épisiotomie étaient très variables en fonction des établissements, allant de 0,3 % dans telle maternité de type 3 – accueillant les grossesses pathologiques et à grands risques à 45 % dans telle maternité de type 1 – accueillant des grossesses normales ou à bas risque » ! Souvent mis en avant pour ses bonnes pratiques, le CHU de Besançon a un taux inférieur à 1% d’épisiotomie pour ses accouchements. Dans certains hôpitaux, il faut maintenant justifier d’une cause lorsque l’on fait une épisiotomie, avoir une bonne raison alors qu’auparavant, c’était l’inverse, la justification devait se faire si l’épisiotomie n’était pas pratiquée. La prise de conscience doit se faire de façon collective – par les autorités médicales, les centres hospitaliers, les cursus de formations – et de façon collective, autant de la part de ceux et celles qui pourraient la pratiquer que des femmes enceintes et des parturientes. Anna Roy nous parle de sa pratique elle a fait seulement quatre épisiotomies sur les milliers d’accouchements qu’elle a pratiqués ! Durant ses études, il y a dix ans, on recommandait déjà de ne plus la pratiquer automatiquement. Elle l’explique sans fard Il faut sortir les ciseaux de la pratique de l’accouchement. » Les personnes enceintes ne doivent pas hésiter non plus à demander avant le jour J quelle est la politique de l’établissement — ou du professionnel qui accompagne la grossesse — sur l’épisiotomie. L’échange étant plus facile au préalable que durant l’accouchement. Il est aussi possible de se renseigner et de choisir sa maternité en prenant en compte ce critère. Les taux d’épisiotomie par établissement sont maintenant consultables en ligne. Comme nous l’apprend un sondage réalisé par La Maison des maternelles et France 5, les femmes ne sont pourtant que 4% à choisir une maternité en fonction de son taux d’épisiotomie et de césariennes. Le premier critère étant la proximité et on peut le comprendre ! Les chiffres publiés par l’hôpital Port-Royal à Paris. Alors que beaucoup de personnes vivent encore les conséquences dramatiques d’épisiotomie réalisées sans bonnes raisons, à l’aune de nos connaissances actuelles, la prise de conscience récente, qui a entraîné un changement dans les pratiques, est très rassurante pour les gens qui vont accoucher dans le futur ! Les sages-femmes, qui sont en première ligne mais ne bénéficient pourtant pas de suffisamment de reconnaissance, accompagnent les futurs parents avec respect et bienveillance et beaucoup essaient d’informer les personnes enceintes sur ce qu’est une épisiotomie et dans quels rares cas il faut la pratiquer, pouvant calmer les craintes à ce sujet. Récemment, nous vous proposions un article sur À la vie, beau documentaire sur Chantal Birman, sage-femme féministe iconique. Une revalorisation du statut des sages-femmes a été annoncée par le gouvernement il y a quelques jours mais cela semble pas suffisant. Alors pour toutes ces raisons, on les soutient dans leur lutte. À lire aussi MonPostpartum ce qui arrive au corps après l’accouchement Image en une © Unsplash Plus d'articles au sujet de l' Accouchement Cafait un bien fou sur le coup, mais après On culpabilise. A BLINDE. Parce que c’était une solution ni maligne ni durable, et une fois toutes ces calories avalées, il ne reste qu’une sorte de honte et de « je me dégoute – j’aurais jamais dû faire ça ». (oui, ça m’est déjà arrivé, non, pas depuis au moins 1 an et demi
30 mai 2019 - 0 commentaires Une bonne blague, un film drôle… Et on éclate de rire ! Tout le monde a déjà connu ces bons moments, enfin je l’espère… Néanmoins, quelques chiffres démontrent que nous ne rions pas assez. Si un enfant rit en moyenne 300 à 400 fois par jour, l’adulte lui ne rirait qu’une vingtaine de fois. Et les études à ce sujet tendent à montrer que nous rions de moins en moins 19 minutes en 1939, 6 minutes en 1983 et moins d’une minute aujourd’hui. Et pire encore, environ 7 % des Français avouent ne jamais rire du tout ! Des rythmes de vie stressants et des conventions sociales pesantes induisent une pression généralisée carrière professionnelle, compétitivité, rendement, etc. laissant malheureusement peu de place à de franches rigolades entre amis ! Et pourtant, lorsque nous rions, nous n’en avons pas toujours conscience, mais nous ressentons une sensation de bien-être, de détente, de relâchement… Nous nous sentons bien tout simplement. Pas seulement parce que nous sommes entre amis ou en famille autour d’une bonne tablée, bien que cela y participe bien évidemment, mais surtout parce que le rire a de réels effets sur notre corps. Et croyez-moi, ils sont nombreux et surtout très bénéfiques. Vous vous demandez sûrement pourquoi ? Eh bien, je me suis posé la même question que vous et je vais essayer de vous répondre. Mais tout d’abord, qu’est-ce que le rire ? Pascale Poinsot-Lesterle a dit Savoir rire est un art, un art du lâcher-prise qui permet instantanément de prendre de l’altitude face aux aléas de la vie ». Si nous nous référons à la stricte définition, le rire est un comportement réflexe, donc incontrôlable, de notre corps qui exprime souvent la joie, le bonheur. J’ai choisi le mot souvent » car parfois le rire peut être nerveux, contraire à l’expression de la joie. Nous avons tous en tête une personne qui se met à rire alors que la situation ne s’y prête pas du tout. Ou alors, un Jean qui rit, Jean qui pleure ». Le rire exprimerait donc simplement des émotions ! Comme disait Goethe Le rire et les pleurs sont cousins ». En effet, qui n’a pas pleuré lors d’un évènement heureux important, ou à l’annonce d’une bonne surprise, ou tout simplement à la suite d’un fou rire ? Nous pouvons donc également pleurer de joie. Le rire serait déclenché par l’humour, le chatouillement ou par l’effet boule de neige, en voyant quelqu’un rire en face de nous. Comme le bâillement, le rire est très communicatif. Ce réflexe est donc une réaction physique d’une multitude de causes. Quels sont ses bienfaits sur notre corps ? Rire aurait de nombreux bienfaits sur notre corps. Vrai remède ou pratique tendance ? Je vous dis tout, ou presque ! Selon la gélotologie, ou science du rire, à ne pas confondre avec gérontologie ! la liste de toutes ses vertus serait longue et non exhaustive. Voyons-en l’essentiel. Le rire, une technique respiratoire proche du yoga ! Rire, forcé ou non, permettrait une réelle détente respiratoire et musculaire. Vous me répondrez sûrement que lorsque vous éclatez de rire c’est plutôt la sensation d’étouffement que nous ressentons ! Oui au début… Mais le corps s’adapte. En effet, les bronches vont s’ouvrir et la respiration s’allonger, ce qui va permettre 4 fois plus d’échanges respiratoires. L’inspiration est plus profonde, et l’expiration plus intense. Nous augmentons donc notre réserve d’air. Nos éclats de rire pourraient alors nettoyer nos voies respiratoires mais aussi prévenir de certaines maladies respiratoires comme l’emphysème voire stopper des crises d’asthme. Le rire, un super digestif ! Pour les adeptes du digeo » ou de la pisse mémé », voici une autre méthode pour les fins de repas difficiles la grosse marrade » ! Eh oui, rire permettrait de renforcer la digestion. Lorsque nous rions, nos muscles abdominaux se contractent et ce phénomène entraînerait le brassage de notre tube digestif en profondeur, lieu où s’élabore la nutrition de l’organisme. Ainsi l’estomac, le côlon, l’intestin grêle, ou encore le duodénum… sont massés, et notre digestion optimalisée. Ceci explique aussi pourquoi le rire lutte contre la constipation. Bonne nouvelle ! Stoppons nos prises de médicaments et marrons-nous ! Le rire un puissant antidouleur Selon une étude, 60 % des consultations médicales seraient liées à la douleur. Et si nous pouvions l’atténuer en rigolant ? C’est prouvé, le rire est tout aussi efficace d’un doliprane. Voici en effet, les 3 mécanismes de l’action du rire sur la douleur Il agit comme un placébo en détournant notre attention. En effet, rire nous change les idées et agit sur notre perception de la douleur en l’atténuant. Il permet de détendre nos muscles. Le rire permet de réduire la contracture musculaire, et cette tension qui crée la douleur ou l’amplifie. Il augmente notre production d’endorphines, hormones jouant le rôle de morphine et de catécholamines adrénaline et noradrénaline qui ont un rôle important sur le processus inflammatoire. Le rire, un anti-stress naturel Économique, efficace et naturel, le rire est le super » remède au stress. Il est la conséquence de plusieurs stimuli externes qui engendrent des réactions hormonales et nerveuses en cascade dans notre organisme. Si le stress peut parfois être positif et agir comme un booster, pour atteindre un objectif important, par exemple, il peut aussi être très néfaste. Perçu comme le mal du siècle », le stress, nous le savons aujourd’hui, est à l’origine de beaucoup de pathologies physiques cancers, infarctus, hypertension artérielle…, psychiques fatigue, trouble du sommeil, dépression… et psychiatriques schizophrénie. Grâce au rire, notre cœur tend à ralentir, les vaisseaux se relâchent et nos muscles se détendent le combo parfait pour réduire notre état de stress et ainsi éviter les maladies les plus graves. Aussi, les sécrétions d’endorphines qu’il provoque permettent l’apaisement de notre corps réduisant considérablement l’excès d’adrénaline et de cortisol générés par le stress. La liste des bienfaits du rire est, je le répète, non exhaustive. En effet, il aurait aussi des effets bénéfiques sur notre sommeil, notre système immunitaire, notre sexualité et dans bien d’autres domaines encore… La thérapie par le rire ça existe ! Aussi étonnant que cela puisse paraître, la thérapie par le rire existe, et elle est même plutôt réputée. On dénombre aujourd’hui près d’un millier de centres de bien-être en France qui proposent un cours de yoga du rire » basé sur des exercices pour apprendre à rire sans raison en stimulant sa capacité à rire pour se relaxer, libérer ses inhibitions et développer une attitude positive envers la vie. De nombreuses associations se développent également, créant des groupes du rire », des lieux exclusivement réservés aux fous rires et à la bonne humeur communicative. Alors ne perdons pas de temps et inscrivons-nous ! Le seul risque que nous prenons est de rire, rire et rire encore… Conclusion Pour conclure, je vous dirais tout simplement essayez de provoquer des situations propices au rire, et marrez-vous ! Riez encore et encore, et votre corps vous dira merci. Faites le stock de blagues, remplissez votre bibliothèque de comédies, sortez avec des gens drôles et positifs, et si cela ne suffit pas, inscrivez-vous à des cours de rire ! Votre bien-être psychique et physique s’accroîtra. Alors pourquoi s’en priver ? Mieux vaut une bonne dose de rire quotidienne qu’une bonne ordonnance, non ? Charlotte Vallet Hypnothérapeute et Sophrologue à PARIS Revenir au Blog Autres articles Les bienfaits de la piscine sur l’esprit et le corps Qu’est-ce que la dette émotionnelle ? Comment se sortir d’un burn-out ?
Réflexedu corps, parfois après un fou rire. Le 8 horizontal représente cette notion. On la déclare quand on est amoureux. Empire antique méditerranéen. Énoncer toutes les lettres. Mouche des fleurs. Demander quelque chose avec insistance. Nouveau membre d'une armée. Paquet de billets. Capitale de Taïwan . Mettre un pansement. Bougie d'église. Qu'est ce que jeLe jeu simple et addictif CodyCross est le genre de jeu où tout le monde a tôt ou tard besoin d’aide supplémentaire, car lorsque vous passez des niveaux simples, de nouveaux deviennent de plus en plus difficiles. Plus tôt ou plus tard, vous aurez besoin d’aide pour réussir ce jeu stimulant et notre site Web est là pour vous fournir des CodyCross Réflexe du corps, parfois après un fou rire réponses et d’autres informations utiles comme des astuces, des solutions et des astuces. Ce jeu est fait par le développeur Fanatee Inc, qui sauf CodyCross a aussi d’autres jeux merveilleux et déroutants. Si vos niveaux diffèrent de ceux ici ou vont dans un ordre aléatoire, utilisez la recherche par indices ci-dessous. CodyCross Planète Terre Groupe 5 Grille 5HOQUET Vj1Qc.