La ferme de volaille est la forme d'élevage d'animaux qui élève des poulets, des canards, des dindes et des oies pour produire de la viande ou des œufs de nourriture, où les animaux sont protégés et capables de croître dans la meilleure circonstance. Le meilleur choix pour votre maison de volaille Construire vos maisons de volaille, qu'il s'agisse d'un éleveur, d'une couche ou d'un gril, est quelque chose que vous préférez partir entre les mains d'un expert. Cela nécessite une compréhension des conditions spécifiques et exigeantes pour assurer une construction sans problème. C'est exactement ce que nous pouvons vous offrir. En tant que fabricant et constructeur de bâtiments dans la structure en acier léger, nous optimisons constamment nos solutions de construction pour s'adapter aux exigences de votre entreprise dynamique. Notre projet dans le monde entier est la preuve! Equipements de volaille automatique1. Ligne d'alimentation principale1 Il s'agit d'un ensemble complet de système d'alimentation automatique, comprenant le tuyau de transport, le silo, la tarière, le moteur d'entraînement et un capteur d'alimentation.2 La ligne d'alimentation principale est principalement utilisée pour fournir des aliments de silo à la trémie de la maison de volaille. Il y a un capteur d'alimentation à la fin de la ligne d'alimentation principale, qui peut contrôler et éteindre le moteur d'entraînement pour réaliser l'alimentation différentes spécifications des silos peuvent être choisies en fonction de la consommation Système de lignes de boisson automatique Ce système peut fournir de l'eau fraîche et propre pour la volaille qui est cruciale pour la croissance des poulets de buveurs peuvent être déclenchés de 360 ​​degrés, ce qui aide les jeunes oiseaux à bien commencer bien et qui rend plus facile à Tapis de refroidissement Le système de coussinet de refroidissement fonctionne dans la condition de la pression négative, le tampon de refroidissement est installé sur un côté de la paroi, le ventilateur installé à l'autre côté. Lorsque l'écoulement de l'air à travers des tampons de refroidissement, l'évaporation de l'eau absorbe beaucoup de hauteur du tampon de refroidissement est de 1,5 à 2,2 m, la zone de coussin de refroidissement dans la maison de poulet est d'environ 6 à 8 fois que les Ventilation Les principales parties du système de ventilation sont le ventilateur 36 '& 50'. Ils sont contrôlés par le système de contrôle. Le nombre de ventilateurs à exécuter est décidé par la température de la maison de volaille.
Manègeset écuries. RÉSISTANCE ARCHITECTONIQUE. La construction de projets industriels ou la pose de structures en acier autant d’activités qui exigent un partenaire expérimenté en construction. CONSTRUCTIONS LOUWET SA possède les collaborateurs, les moyens et l’expérience requis pour assurer vos missions avec la plus grande
Constructiondu bâtiment. Équipement intérieur. Poulettes bio. Normes CE (2029) 21 kg/m² (à partir de 2022) 24 kg /m² (jusqu’à 2022) 10 cm de perchage / poulette; 1 pipette pour 10 poulettes; 4 m linéraire / 100 m² de bâtiment; Maxi 10 000 poulettes / lot; Parcours 1 m²/ poulette; Poulettes PPA / SOL. Normes CE. De 14 à 20 poulettes / m² (maxi 42 kg / m²) 2 à 5
Aller au contenu VALIDÉ / RECRUTEMENT TERMINÉ Mise en place d’une unité d’élevage de poules pondeuses dans la commune d’Akanda – Libreville, Gabon. A quel problème ce projet essaie-t-il de répondre ? Le marché de la volaille dans la commun d’Akanda, localité est situé à 48 km au Sud de la Capitale Libreville au Gabon étant détenue par une minorité d’aviculteurs, ce qui entraîne une augmentation des prix sur le marché rendant ainsi le pouvoir d’achat des riverains inférieur à la moyenne, cette situation favorise la non présence des protéines d’origine animale dans nos menus. Objectifs Réduire le déficit en protéines animales des populations tout en créant quelques emplois dans la commune d’Akanda. Objectifs spécifiques Produire en moyenne 500 poule pondeuses tous les 45 jours dans 2 poulaillers d’une capacité de 250 chacun. Produire quotidiennement 392 œufs de consommation avec un effectif de 500 poules pondeuses en considérant un taux de mortalités de 2% et un taux de ponte de 80% à partir du sixième mois d’âge Livrables la construction d’un premier poulailler d’une capacité 250 poules répondant aux normes techniques d’élevage pour le nombre de sujets concernés. l’acquisition de mangeoires 50 et d’abreuvoirs 50 pour le premier poulailler. l’acquisition des 250 poules pondeuse et des aliments de base pour le démarrage et les frais de soins vétérinaires. les œufs. Porteur de projet Porteur d’idée TCHOBA PAH Eric paheric9 Je suis Eric Tchoba Pah, Ingénieur en réseaux et systèmes informatiques. J’ai réalisé plus des 70% au parcours avancé et à l’examen libre du tronc commun MOOC GdP. Je suis passionné par la création d’une unité d’élevage des poules pondeuses afin de vendre les œufs produits par cette dernière. Je souhaiterais être Chef de Projet. Passionné par les interactions humaines et les pratiques de management ce qui m’anime au quotidien c’est de faire découvrir des méthodes nouvelles. Je souhaite partager mon expérience de la manière la plus pragmatique possible pour aider les organisations et les managers à s'améliorer au quotidien. Afficher tous les articles par Eric SOUDY Navigation de l’article Quelssont les investissements éligibles ? Les investissements éligibles sont répartis dans deux volets : Volet 1 : la création, extension et modernisation des bâtiments d’élevage : logement des animaux, équipements de traite, ouvrage de stockage des effluents, etc. pour les bovins, ovins, caprins, porcins et volailles. Le Pacte Biosécurité - bien-être animal (BBEA) de FranceBien géré, avec un approvisionnement maîtrisé, il offre une rentabilité supérieure à 10%. Un élevage de 40?000 têtes nécessite un investissement de près de 3 MDH et peut générer quelque 360?000 DH de gains chaque année. Coût du foncier, prix du matériel, procédures, prix de revient…, tout ce qu’il faut savoir. L’élevage avicole est un secteur qui présente beaucoup d’opportunités pour les investisseurs et offre une rentabilité intéressante, qui tourne autour de 12% hors amortissement et impôt, pour peu que l’on soit vigilant sur la gestion du business. Mieux, le potentiel d’évolution est très important. En effet, compte tenu de leurs prix relativement bas par rapport aux autres denrées animales, les produits avicoles sont consommés par tous les Marocains et constituent un pilier de l’amélioration de la sécurité alimentaire de notre pays en termes de protéines d’origine animale. Avec une production, en 2007, de 370 000 tonnes de viandes de volailles, ce secteur couvre 100% des besoins pour ce type de viandes au Maroc, représentant 54% de la consommation totale toutes viandes confondues. Il a généré en 2007 un chiffre d’affaires de 16,7 milliards de DH et cumulé des investissements de l’ordre de 8 milliards de DH. Ayant évolué pendant des années dans une situation d’anarchie, le secteur avicole est, depuis 2006, strictement réglementé et mieux structuré. Après l’entrée en vigueur de la loi 49-99 réglementant la profession de l’élevage avicole et une année 2007 de transition pour se conformer aux nouvelles normes, plusieurs élevages ont été interdits d’exercer, à moins de se mettre à niveau, ce qui a même poussé certains professionnels à abandonner. A l’expiration de l’année de transition, seules 3 700 fermes de poulet de chair sur les 5 900 existantes avaient été autorisées à continuer leur activité. L’élevage de poulet de chair est le plus accessible Le malheur des uns faisant le bonheur des autres, il y a de la place pour de nouveaux entrants dans le secteur, à condition qu’ils investissent convenablement et respectent les règles mises en place. Côté activité, le potentiel de croissance existe. Sur les trois dernières années, le taux d’accroissement moyen de la production des viandes de volailles a approché les 10 %. Et encore, on n’en est qu’à une consommation de 13,4 kg par an et par habitant. En Europe, la moyenne de la consommation de viandes de volailles est de 20 à 25 kg par an et par habitant», précise Chaouki Jirari, directeur général de la Fédération interprofessionnelle du secteur avicole FISA. Ce niveau de consommation encore faible, conjugué à des prix accessibles sur le marché entre 12 et 17 DH le kilo de poulet vif en moyenne, ne peut que confirmer l’idée que le secteur continuera à se développer. Il y a encore de la marge pour la production de viandes de volailles au Maroc», poursuit le DG de la FISA. Soyez vigilants pour l’achat du terrain Pour ceux qui souhaitent investir dans le secteur, il faut savoir qu’il existe plusieurs contraintes à gérer, concernant notamment l’approvisionnement en poussins et en aliments ainsi que la commercialisation des produits. Tout d’abord, il faut distinguer entre plusieurs types d’élevage avicole. Il y a ce qu’on appelle les couvoirs de production de poussins de type chair destinés à l’engraissement, ceux de production de poussins de type ponte reproducteurs, les élevages de volailles de type chair et enfin les élevages de poules pondeuses. Hormis l’élevage de poulet de chair, les autres catégories nécessitent des investissements colossaux et un savoir-faire très technique. D’où l’intérêt pour l’élevage d’engraissement, de poulet en particulier, qui est le plus important en nombre de fermes au Maroc, et le plus accessible à des investisseurs nouveaux dans le métier. Selon les professionnels, il vaut mieux démarrer petit si on fait ses premiers pas dans le domaine. Ceci dit, il faut avoir une taille convenable pour rentrer dans ses frais. La taille optimale pour un nouvel éleveur est de 40 000 têtes. Cette capacité est viable du point de vue économique et, surtout, sanitaire», indique Ahmed Addioui, président de l’Association nationale des producteurs de viandes de volailles APV. Des constructions pour un peu plus de 2 MDH Pour un élevage de 40 000 poulets, il faut un terrain d’environ 2 hectares. Au prix de 200 000 DH/ha en périphérie de ville le prix varie selon la région et l’emplacement, le terrain coûtera 400 000 DH. Avant de l’acheter, s’assurer qu’il répond aux exigences réglementaires et économiques du métier. En effet, il faut que le terrain respecte les distances fixées par la loi 49-99 entre les différents élevages pour éviter les contaminations. L’éleveur doit aussi procéder aux analyses chimiques et bactériologiques de l’eau pour s’assurer qu’elle ne contient pas de métaux lourds ou de substances nuisibles à l’élevage. La possibilité de raccordement du terrain au réseau de l’Onep pour l’abreuvement des animaux est un avantage supplémentaire. En outre, l’accès au terrain doit être aisé en toutes saisons pour les véhicules de transport, et la proximité d’une ligne électrique est nécessaire. Acheter le terrain en hiver permet de vérifier qu’il n’y a pas de marécages. Une fois le terrain acquis, il faudra construire les bâtiments d’élevage. Pour respecter une densité de 12 poulets/ m2, il faut prévoir une superficie construite de 3 300 m2 pour les 40 000 têtes, soit, à titre d’exemple, trois bâtiments de 86 mètres de long et 13 m de large chacun, avec un sas de service pour les aliments. Ils peuvent se présenter sous forme de tunnel cerf avec isolation, ou en double pente charpente, et doivent comporter des pédiluves à l’entrée pour la désinfection des pieds. La construction coûtera entre 500 et 700 DH le m2, soit un budget total de 1,65 MDH. Des bâtiments annexes sont à prévoir vestiaires avec douches, bureau, magasin de stockage des aliments, logement des ouvriers… et ce, conformément à la réglementation. Ils peuvent tenir sur 200 m2 dont le prix de construction tourne autour de 1 200 DH/m2, soit au total 240 000 DH. A cela, il faut ajouter une clôture – grillage ou mur – pour le terrain la loi exige une hauteur de 1,5 mètre pour près de 90 000 DH, une fosse à cadavres pour 3 000 DH, un puits et un château d’eau pour un total de 95 000 DH et enfin un autoluve pour la désinfection des roues des engins livreurs ou destinés à la distribution 3 000 DH. Concernant les équipements, le mieux est de disposer de chaînes d’alimentation automatiques avec abreuvement. Pour 40 000 poulets, il en faudra trois à raison de 140 000 DH l’unité, soit 420 000 DH. Durant les premières semaines d’alimentation, un matériel spécial est nécessaire abreuvoir siphoïde et mangeoire linéaire dont le coût est de près de 20 000 DH. Un chauffage 30 000 DH, un véhicule de transport 120 000 DH, du matériel de lavage et de désinfection 45 000 DH ainsi que divers autres petits équipements 15 000 DH sont à prévoir. Au total, l’investissement dans un élevage avicole d’une capacité de 40 000 unités coûte un peu plus de 3 MDH. La marge est à réaliser sur le prix des poussins Avant de démarrer l’activité, il faut fixer le poids de vente cible car c’est de ce poids que dépend le cycle d’élevage. Ce poids peut varier d’un kilo et quelque à plus de deux kilo. Son choix se fait en fonction de la demande à l’échelle de la région. Dans le Nord, par exemple, le poids le plus prisé est de 1,25 kilo. A Casablanca, par contre, la demande porte sur les volailles de plus de 2 kilos. Pour un poids d’environ 2,25 kilos, il faut compter une période d’élevage de 45 jours, une période d’enlèvement vente de 5 jours, une autre d’évacuation du fumier, de lavage et de désinfection de 7 jours, et une dernière de vide sanitaire, imposée par la loi de 20 jours», précise Ahmed Addioui de l’APV. Au total 77 jours sont nécessaires pour engraisser et vendre des poussins d’un jour à un poids de 2 kilos et plus. Sur une année, cinq élevages ou pontes», selon la terminologie professionnelle peuvent donc être réalisés. Mais les professionnels recommandent de se limiter à quatre afin de laisser à la ferme le temps de respirer». Les termes de l’investissement et les prévisions d’activités étant fixés, il faut également se pencher sur le fonctionnement d’un cycle d’élevage. Pour une ponte de 40 000 unités, il faut s’approvisionner en premier lieu en poussins d’un jour. Pour cela, il existe deux marchés. Le premier est celui des accouveurs il en existe plus de quarante. Les prix qu’ils proposent sont officiels prix au couvoir et peuvent être très intéressants. Mais l’approvisionnement doit s’inscrire dans le cadre d’un programme quand il n’y a pas de surproduction achats planifiés dans le temps avec des quantités déterminées, ce qui est parfois contraignant. Le deuxième marché est quant à lui dit parallèle» et il est entre les mains des intermédiaires. Il attire actuellement de plus en plus d’éleveurs car les prix peuvent y être très compétitifs à partir de 30 centimes l’unités. Pour les besoins de notre simulation d’activité, un prix de 1 DH le poussin a été retenu, sachant qu’il peut aller jusqu’à 3 DH l’unité voire plus. Une fois que les poussins d’un jour sont dans la ferme, il faudra les nourrir. Et c’est là le poste de dépense le plus important de cette activité. Les achats d’aliments représentent à eux seuls 60 à 70% du coût de revient», prévient Mohamed Chennaoui, éleveur avicole et membre de la FISA. On l’aura compris, la flambée des cours des matières premières sur les marchés internationaux en 2007 a aggravé le poids de cette charge pour les éleveurs. Les prix des aliments sont appelés à baisser Dans le but de vendre son élevage à un poids unitaire tournant autour de 2,25 kilos, il faudra compter 1 kilo d’aliment de démarrage par poussin, à 4,40 DH le kilo, et 3,5 kilos d’aliment de croissance à 4,20 DH le kilo, soit 14,7 DH. Au total, chaque poussin consommera pour 19,1 DH d’aliments, soit une charge globale de 760 000 DH pour une ponte de 40 000 têtes. L’élevage nécessitera également des produits vétérinaires vaccins. Pour 40 000 têtes, cette charge s’établira à près de 80 000 DH. Enfin, pour ce qui est des autres charges – gaz pour le chauffage, paille pour la litière, main-d’œuvre trois ou quatre ouvriers pour les 40 000 poussins, eau, électricité, transport et désinfection-, les professionnels estiment leur montant à 1,5 DH par kilo de poulet produit, soit, pour un élevage de 40 000 têtes, une dépense de près de 120 000 DH. In fine, le coût global d’une ponte de 40 000 têtes destinées à la vente avec un poids moyen de 2,25 kilos par poulet est de près d’un million de DH, ce qui correspond à un coût de revient de 25 DH par poulet, soit 11 DH le kilo ? Pour le prix de vente sortie ferme, il tourne actuellement autour de 12 DH le kilo après un pic de 13 DH en août dernier. Ce qui laisse dans notre cas une marge unitaire d’un DH/kilo, soit pour 40 000 têtes un gain de 90 000 DH. Ainsi, avec quatre cycles dans l’année, les bénéfices peuvent se monter à près de 360 000 DH hors amortissement de l’investissement et impôt sur le revenu si l’éleveur se déclare comme personne physique ou sur les sociétés s’il est déclaré comme personne morale. Ces gains sont importants 12% de l’investissement chaque année. Pourtant, les professionnels du secteur estiment que les prix de vente sont inférieurs aux niveaux auxquels ils devraient se situer. Il n’y a pas de réelle confrontation entre offre et demande sur le marché à cause de la multiplication des courtiers et de l’attitude passive de certains éleveurs qui, parfois, vendent à perte», déplore Mohamed Chennaoui. Pour lui, le prix sortie ferme doit être au minimum de 14 DH/kilo pour permettre de réaliser une marge décente. En attendant la mise à niveau de l’aval du secteur avicole transport, marché de gros, tueries…, comme cela s’est fait avec l’élevage, et dans l’impossibilité d’agir sur les cours des matières premières, les éleveurs n’ont plus que les prix des poussins pour grignoter de la marge. On peut gagner de 0,50 à 1 DH de marge rien que sur le prix du poussin», estime Ahmed Addioui de l’APV. Par ailleurs, selon les professionnels du secteur, les cours des matières premières devraient se détendre en raison de la récession économique mondiale et du retour à de bonnes récoltes. Ce qui devrait alléger les charges d’alimentation des éleveurs et renforcer leurs marges. En dehors de cela, une bonne gestion de l’élevage est essentielle pour optimiser les coûts et maximiser les gains. L’indice de consommation rapport entre le tonnage d’aliment utilisé et le tonnage de poulet obtenu, notamment, est un ratio à optimiser il doit être proche de 2. Pour cela, il faut veiller sur la qualité des poussins, celle des aliments, de l’eau et de la litière. De manière générale, il est impératif d’assurer les meilleures conditions à son élevage.
KAmSPr.