Arguments Aucun - page 2 - Topic Sans alcool la fĂŞte est plus folle du 16-07-2010 01:24:21 sur les forums de jeuxvideo.com. CONNEXION . Retour Jeux. Tests; Soluces; Previews; Sorties; Hit
Après deux ans et demi d’absence le WeathÂer FesÂtiÂval marÂquait son grand retour sameÂdi 27 avril. Dans une verÂsion Ă taille humaine et avec une propoÂsiÂtion artisÂtique moins focalÂisĂ©e sur les superÂstars de l’électro — que l’on voit dĂ©jĂ dans tous les gros rassemÂbleÂments europĂ©ens aux proÂgramÂmaÂtions monotÂoÂnes et sans risque. Un arrĂŞtĂ© municÂiÂpal de dernière minute a touteÂfois limÂitĂ© la vente d’alcool au sein de l’évĂ©nement, faisant fuir ceux pour qui la qualÂitĂ© musiÂcale n’était pas la prĂ©ocÂcuÂpaÂtion preÂmière. Une Ă©diÂtion sobre donc, dans tous les sens du terme. Et c’était plutĂ´t chouette. L’occasion pour nous de dĂ©couÂvrir La Seine MusiÂcale, nouÂvÂel espace ouvert il y a deux ans du cĂ´tĂ© de Boulogne BilÂlanÂcourt et qui n’avait jusqu’à prĂ©sent pas proÂposĂ© d’évĂ©nements nocÂturnes de cette ampleur. Le bâtiÂment ressemÂble Ă un giganÂtesque paqueÂbot posĂ© sur l’Ile Seguin, un lieu bien conÂnu des habituĂ©s du WeathÂer puisque ayant accueilÂli le closÂing de l’édition 2014 avec l’incroyable perÂforÂmance de Three Chairs – MoodyÂman, Theo ParÂrish et MarÂcelÂlus Pittman. Il faut dire que le ManÂiÂfeste » pubÂliĂ© quelques semaines en amont de l’évĂ©nement nous avait bien allĂ©chĂ©s. Quand tant de gros fesÂtiÂvals se conÂtentent de bookÂer semÂpiterÂnelleÂment les 30 mĂŞmes tĂŞtes d’affiches — pour qui le Djing semÂble ĂŞtre devenu une forme de rente Ă base d’autosync plutĂ´t qu’une affaire de pasÂsion – le WeathÂer se proÂpose lui de dĂ©frichÂer » et de ramenÂer des grands noms vraiÂment impliquĂ©s ». On dit oui, oui et mille fois oui. AinÂsi le dĂ©but de soirĂ©e est dĂ©diĂ© Ă l’IDM et aux lives audio-visuels, des perÂforÂmances que l’on ne trouÂvera jamais dans le genre d’évĂ©nements prĂ©cÂitĂ©s. PreÂmier Ă entrÂer en scène l’allemand Carsten NicoÂlai aka Alva Noto pour un live autour de son dernier album UNIEQAV. Celui-ci nous conÂquit rapiÂdeÂment avec son IDM tanÂtĂ´t musÂclĂ©e, tanÂtĂ´t plus mĂ©lodique, touÂjours parÂfaiteÂment ciselĂ©e, tanÂdis que la salle prinÂciÂpale de la Seine MusiÂcale se remÂplit douceÂment. On est d’ailleurs impresÂsionÂnĂ©s par la topograÂphie des lieux, dĂ©barÂrassĂ©s de leurs habituels gradins, avec la senÂsaÂtion de se retrouÂver au cĹ“ur d’un immense vaisÂseau spaÂtial. On remarÂque ausÂsi d’emblĂ©e que les Ă©quipes du WeathÂer ont mis le paquet sur la sonoriÂsaÂtion, impecÂcaÂble et prometÂteuse pour la suite des Ă©vĂ©neÂments. Cet aspect science-fiction se pourÂsuit avec le live suivÂant, celui de Lanark ArteÂfax qui se dĂ©roule de l’autre cĂ´tĂ© de la salle. CachĂ© derÂrière un monoÂlithe Ă©mergeant d’une brume artiÂfiÂcielle sur lequel vienÂnent bienÂtĂ´t se proÂjeter des visuels futurÂistes, le briÂtanÂnique proÂpose une IDM plus conÂtemÂplaÂtive et barÂrĂ©e, poncÂtuĂ©e de dĂ©flaÂgraÂtions en mode infrabassÂes qui vous prenÂnent aux trippes. DĂ©coiffant. Lanark ArteÂfax ©RĂ©my Golinelli Sans alcool la fĂŞte est plus folle Après ces presque deux heures conÂsacrĂ©es Ă l’électronique expĂ©riÂmenÂtale on cherche Ă se rafraĂ®chir un peu avant de basÂculer en mode danceÂfloor. C’est lĂ que l’on comÂprend qu’il y a un sĂ©rieux probÂlème au niveau des bars. Ceux situĂ©s Ă l’intĂ©rieur du bâtiÂment ont interÂdicÂtion de venÂdre de l’alcool – y comÂpris de la bière – et ceux Ă l’extĂ©rieur sont logiqueÂment pris d’assaut. RenÂseigneÂment pris, cela est dĂ» Ă un arrĂŞtĂ© municÂiÂpal de dernière minute qui a pris les Ă©quipes du WeathÂer de court. Pire, une interÂdicÂtion totale de vente d’alcool est annonÂcĂ©e entre deux heures et cinq heures du matin. Cette dernière fera fuir une parÂtie des fesÂtiÂvaÂliers – les moins motivĂ©s – entre 1500 et 2000 selon Le Parisien, soit entre un quart et un tiers des perÂsonÂnes prĂ©sentes. On comÂpatit pour les organÂisaÂteurs pour qui le prĂ©juÂdice financier risque d’être imporÂtant tout en se disÂant Ă©goĂŻsteÂment qu’on aura plus de place pour nous. TanÂdis que des jeunes gens très lookĂ©s se dĂ©chainent dans la BoilÂer Room – avec entre autre OKO DJ, Park Hye Jin et Kosh – on profÂite du set de Deena AbdelÂwaÂhed qui a dĂ©cidemÂment un son très perÂsonÂnel, que ce soit sur son album ou lors de ses DJ sets. Une techÂno Ă©thĂ©rĂ©e aux influÂences bass music, tribÂales, oriÂenÂtales et dub. Deena AbdelÂwaÂhed ©RĂ©my Golinelli Elle est suivÂie par le bulÂgare Kink dont on conÂnait dĂ©jĂ les lives très Ă©nergiques et ludiques. NavÂiguant entre house et techÂno aux sonoritĂ©s old-school il se dĂ©chaine derÂrière les machines durant près de 2h30 – quel perÂformer ! On fait ausÂsi des allers-retours vers la salle du bas, qui avec ses piliers et ses baies vitÂrĂ©es donÂnant sur la Seine ressemÂble Ă©trangeÂment Ă ConÂcrete. On y dĂ©couÂvre le live des français Pilotwings, très Ă©clecÂtique, aborÂdant la house sous ses angles bass music, dub, breakÂbeat voir italo-disco. On reste ausÂsi pour le back-to-back entre Octo Octa et Eris Drew pour une house qui retourne le danceÂfloor mais que l’on trouÂve un peu trop conÂvenÂtionÂnelle – très influÂencĂ©e par les scènes anglaise et new-yorkaise. A moins que ce ne soit la fatigue qui se fasse dĂ©jĂ ressenÂtir. Ou le manque de bière. Djrum referÂmera cet espace avec un breakÂbeat acid assez Ă©nervĂ©, limÂite junÂgle. Du son qu’on entend que trop rarement et qui fait du bien. A l’étage supĂ©rieur dans la grande salle Daniel Avery dĂ©roule une techÂno futurÂiste, menÂtale et effiÂcace qui satelÂlise tout le monde. Avant de laissÂer la place au duo français LuxÂor – Antigone et ShloÂmo – pour un live de techÂno frontale Ă 140 BPM. LuxÂor ©RĂ©my Golinelli Il est dĂ©jĂ 7h du mat. L’heure pour nous d’abandonner les derniers danseurs Ă leur joyeux sort. L’heure ausÂsi de faire le bilan. Un WeathÂer rĂ©usÂsit Ă bien des Ă©gards – logisÂtique, artisÂtique – et dont on espère qu’il ne sera pas trop pĂ©nalÂisĂ© par ce triste imbroglio autour de la vente d’alcool. Car des fesÂtiÂvals de cette exiÂgence qualÂiÂtaÂtive, il n’y en a pas tous les jours Ă Paris. VisÂitĂ© 2 462 fois
Appeldes Radicaux pour une Laïcité sans concession ! Retrouvez la liste des signataires . En savoir plus ADHÉREZ EN LIGNE ! En savoir plus Aller au contenu principal [Prise de Position] « Sans alcool, la fête est plus folle ! » Par Henriette Diadio-Dasylva, Secrétaire Nationale Sport, Jeunesse, Éducation Populaire et Vie Associative. Publié le
Sortir Restos & Gastronomie Publié le 16/01/19 mis à jour le 08/12/20 Partager © Philippe Levy Ne dites plus cocktails sans alcool, mais “spirit free” ou mocktail. Cette année, ils sont les véritables stars de la Paris Cocktail Week. Autrefois, un cocktail sans alcool, comme son nom l’indique, c’était une recette dont on enlevait l’alcool, point barre. Mais de nouvelles habitudes et attitudes ont pointé leur nez chez nos cousins d’outre-Manche, pourtant peu réputés pour leur consommation modérée de boissons alcoolisées… Que ce soit pour faire une pause dans la soirée, un break dans l’année ou chercher de nouvelles sensations, le sans alcool » est bien vu. L’occasion pour les barmen de se renouveler avec des ingrédients naturels, des circuits courts, la saisonnalité et un air du temps où le plaisir est inoffensif mais tout aussi festif. Ainsi, commander aujourd’hui un mocktail ou un spirit free » est signe de connaissance, voire de reconnaissance… J’ai ainsi un souvenir ému d’un dry martini sans alcool, concocté par Mido, du Café moderne, qui relevait le défi de réaliser, à partir d’une recette typiquement alcoolique, son pendant sans spiritueux. Un verre aussi sexy » d’aspect que son cousin fort en degrés, mais dont le goût vous transporte ailleurs, sans l’artifice de la griserie. Et l’absence d’alcool est aussi synonyme de moindre coût. Se faire plaisir en dépensant moins, c’est aussi dans l’air du temps… Nos critères ? L’originalité des ingrédients et l’expérience vécue dans chaque établissement. 1- Chez Litani 10e l’exotique et pétillant DAMASCENA FIZZPerrier/ eau de rose/ mélasse de grenade Thomas Codsi est libanais et son bar/ restaurant, le Litani, aussi. On l’a connu dans son autre lieu, le Castor Club rive gauche, où son inventivité et sa précision nous ont toujours bluffé. Là , il nous plonge dans sa culture avec des goûts et des parfums rarement bus en cocktails, comme cette mélasse de grenade qui par son acidité peut remplacer le citron. L’accompagner d’eau de rose c’est orienter la recette plus encore vers l’Orient, d’où le nom de Damascena » de Damas qui ouvre nos papilles voyageuses. C’est du bon, ce libanais ! Avec Thomas Codsi, des cocktails insolites aux saveurs du Liban Laurent Jézéquel 2- Chez Monsieur Antoine 11e, l’acidulé et coloré HEAT Perrier , citron jaune, blanc d’œuf, sirop Bissap, eau de fleur d’oranger Un cocktail sans alcool de chez Monsieur Antoine. © Philippe Levy Aux commandes de Monsieur Antoine », deux associés, deux potes qui ne se la jouent pas, et ont réussi à faire de leur lieu un des seuls bars à cocktails qui ressemble à un troquet de quartier, avec une belle bande son rock n’roll. Ils sont rarement cités, mais leur carte est toujours un phare dans la nuit parisienne du goût et de la créativité. Là , ils dégainent le sirop de Bissap, un classique africain à base de feuilles d’hibiscus, associé à de l’eau de fleur d’oranger, et shaké avec un blanc d’œuf…là , on dit merci Môsieur ! Monsieur Antoine Bars 3- Chez Mabel 2e, le fruité et épicé PURPLE AND FREE Perrier/ Chicha Morada /Pomme bio/ orange /citron jaune/ gingembre bio Quand on évoque Joseph Akhavan on pense à ses recettes aussi longues que leurs goûts sont simples et structurés. Le Sombre Détune » est , par exemple, un des meilleurs breuvages servis à Paris. Mais, preuve que le sans alcool » est le nouveau terrain de jeux des top barmen, voilà cette recette deep purple », comme la couleur violette du maïs péruvien utilisé pour faire la Chicha Morada, boisson populaire là -bas et qui fait sa grande entrée parisienne par la petite porte du Mabel. Si, senor ! Mabel Bars Paris Cocktail Week. Du 18 au 26 janvier. Cocktails avec et sans alcool à prix réduits dans plus de cinquante bars à Paris. Toutes les infos sur le site de la PCW. mixologie cocktails Paris Cocktail Week Partager Contribuer Sur le même thème
Deplus en plus, lors de soirées, celui qui ne boit pas, c’est le « loser » de la bande. Triste constat qui illustre à quel point la consommation excessive d’alcool s’est banalisée chez les jeunes. C’est pour y faire face que l’INPES diffuse une websérie montrant – avec humour – des techniques pour éviter de boire de l’alcool sans passer pour un ringard. Son nom
L’éthanol contenu dans les boissons alcoolisées mais aussi les fruits fermentés ou encore les pâtes à pain en cours de levage peut s’avérer rapidement toxique pour les animaux de compagnie. Ainsi, l’ingestion de l’équivalent de 3 à 5 verres de vin soit ½ à 1 bouteille de 75 cL peut suffire à entraîner le décès d’un chien de 5 kg. Il faut toutefois rappeler que la concentration en éthanol est très variable en fonction du type d’alcool de 4° 4g d’alcool pour 100 mL de boisson pour de la bière à plus de 70° pour du cognac par exemple. L’ingestion d’alcool conduit rapidement en moins d’une heure à l’apparition de troubles digestifs nausées, vomissements et de troubles neurologiques. Dans un premier temps, l’animal présente souvent une démarche ébrieuse, une agitation, et semble désorienté. Par la suite, peuvent survenir un abattement, des tremblements voire un coma et des convulsions dans les cas les plus sévères. La règle à suivre en cas d’ingestion de substance toxique est la règle des 3T Temps n’attendez pas et ne tentez pas de remède de grand-mère », cela aggrave souvent la appelez votre vétérinaire ou un service d’urgences vétérinaires. Toxique indiquez le produit, la quantité, l’heure d’ingestion si cela est possible.
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sans alcool la fete est plus folle